À partir de ce lundi 16 septembre, la circulation entre la Charente-Maritime et la Vendée sera fortement perturbée en raison des travaux sur le pont du Brault.
C’est parti pour trois mois de perturbations : le pont du Brault se refait une beauté. Dès ce lundi 16 septembre, la circulation sur le pont du Brault, qui relie nos deux départements, va devenir un véritable parcours du combattant ! Les travaux de rénovation de ce pont emblématique ont commencé, et ils vont chambouler vos trajets pendant plusieurs semaines.
Circulation alternée jusqu’au 29 septembre
Pour l’instant, jusqu’au 29 septembre, rien de trop dramatique : les restrictions se feront principalement la nuit. La circulation sera alternée, et parfois même barrée, selon l’avancée du chantier. Alors, pour les oiseaux de nuit ou les retardataires, mieux vaut prévoir un peu de marge.
Fermeture totale à partir du 30 septembre
Mais attention, le vrai casse-tête débutera le 30 septembre ! À partir de cette date, et jusqu’au 21 octobre, le pont sera complètement fermé à la circulation. Oui, vous avez bien lu : plus moyen de passer. Les automobilistes devront faire un détour par les départementales 25 (Sainte-Radégonde-des-Noyers) et 137 (Marans) pour continuer à relier la Vendée et la Charente-Maritime. Préparez votre playlist pour ces trajets rallongés !
Retour à une circulation partielle jusqu’au 9 décembre
Et après ? Pas de panique, le pont ne restera pas hors service jusqu’à Noël. Dès le 21 octobre, les travaux reprendront de nuit, permettant de rétablir une circulation diurne la plupart du temps. La fin du chantier est prévue pour le 9 décembre.
Navigation fluviale à l’arrêt
Côté fluvial, les choses se compliquent aussi : la navigation sera totalement interdite durant cette période. Une longue pause pour les plaisanciers qui devront attendre le retour des beaux jours pour profiter à nouveau du canal.
Des travaux pour moderniser le pont
Le chantier vise à moderniser la partie mobile du pont en installant notamment deux vérins hydrauliques, contre un seul actuellement. Une mise à niveau qui promet de mieux répartir les efforts et de garantir la longévité de cette infrastructure essentielle.
